• Les droits, les lois, tout cela est une affaire de papier au bout du compte. La "liberté", "l'égalité", l'émancipation, l'indépendance, tout cela ne se fera pas par le papier. Pas plus qu'on a aboli l'esclavage en retirant les chaînes, l'esclavage existe bel et bien toujours, même sans chaînes et fouets, il est consenti de nos jours, cela le rend transparent.

    Le droit à la liberté et au reste, ne peut que se chercher et s'obtenir au fond de notre cerveau, du cerveau de chacun, tant qu'on attendra des autres, de la société, de son conjoint ou de ses enfants, un quelconque droit, une quelconque liberté, on rêve tout haut.

    Mais messieurs, mais mesdames, voyez si dans vos maisons, vous ne transmettez pas à vos enfants toutes les conditions qui leurs rendront bien difficile le chemin de la liberté.

     


    votre commentaire
  • Ce n'est pas important, la compréhension.

    La compréhension est une vapeur, alors que l'incarnation est un rocher !


    votre commentaire
  • "C'est une sphère dont le centre est partout, la circonférence nulle part." Quelqu'un a une idée de ce dont il s'agit ???

     

    C'est un Quantique !

    Je fais un jeu de mot sérieux avec un cantique, mais le terme convient aussi bien.

    Voire en toute chose le centre du monde et dans le monde, le centre de toute chose, est une position spirituelle et quantique à la fois. De circonférence il ne peut y avoir, puisqu'elle implique une limite. Du point de vue d'un croyant, le tout est en toute chose comme chaque chose est en le tout.
    Du point de vue d'un non-croyant qui va dans le monde avec ses deux faces, tout verbe contient une vérité et toutes celles qui s'y opposent .

     


    votre commentaire
  • Qui se sert le mieux de la terreur, ceux qui coupent les têtes ou ceux qui veillent à ce qu'elles restent vides ?

    Vu de loin, ceux qui semblent jouer la musique sont les coupeurs de têtes, et ce n'est pas bien de couper les têtes, mais au bout du compte, qui "joue" pour qui ?

     


    votre commentaire
  • Le patriotisme, c'est aimer son pays. Le nationalisme, c'est détester celui des autres.

     

    D'un côté, il y a des fleurs qui poussent sur un très vieil arbre sans donner de fruit.
    De l'autre, un très jeune arbre qui ne donne pas de fleur.

    Citation de Sancho Pancha dans l’œuvre magistrale : Le chevalier suivant son ombre.
    « La patrie est une notion moderne, à l'origine était la "Matrie", cela évoque le lien affectif qui s'établit avec le sol où la mère a verser son sang lors de l'accouchement.
    Le terme "nation" d'ailleurs cherche à rester en lien avec "quelque chose" qui se rapporte, mais de loin, au cordon ombilical. Le nationalisme devrait se référer à un sentiment hostile vis à vis de celui qui foule le sol natal. Mais cela concerne le groupe, le clan, la tribu. Les primates connaissent. »

    Le "matrionisme" se réfère à la sphère de l'affect, mais peut-être encore davantage au symbolisme "sacré".

    Le terme "patrie" est en effet celui que l'on rencontre dés les livres d'école.
    Mais au niveau où j'en parle, c'est à dire à celui de l'instinct, les hommes (comme les femmes) ne lâchent pas : papa !! au moment de mourir. Comprenez-vous de quoi je parle ?

    L'attachement affectif à un sol, qu'il soit un petit terrain, ou un département, appartient à la famille des liens avec la mère, voila pourquoi j'ironisais sur la récupération du terme par le patriarcat, car c'est bien le patriarcat qui comptait sur le sang versé dans les tranchées de tous les siècles.

     


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique