• Tout le monde le perçoit, ce lien !

    Tout le monde sait que la nature et le vivant sont liés.

    Tout le monde le sait très clairement.

    Comme tout le monde sait que lorsque les pneus de la voiture sont usés, c’est dangereux de ne pas les changer.

    Donc tout le monde sait que le mal que l’on fait nous retombe dessus.

    Si tu dis des mots qui laissent imaginer que certaines personnes ont une perception plus fine de leur lien avec le monde que la majorité des autres personnes, tu fais le terrain idéal pour excuser la mauvaise foi.

    Il n’y a pas des personnes qui perçoivent et d’autres pas.

    Il y a des personnes qui sont dans le mensonge et d’autres pas.

     

    Sommes-nous toujours dans la même qualité de perception ?

     

    Oui.

    La qualité dépend des sens.

    Tu sais mes yeux ne peuvent prétendre y voir plus clair que la moyenne, et il s’agit bien pourtant de choses que l’on voit avec les yeux.

    La perception n’est pas en cause, tout le monde perçoit de la même façon, du moins toutes les personnes qui ont dépassé l’enfance.

    Et le fait que ces personnes soient en vie d’une manière autonome démontre bien que tout le monde perçoit de la même façon.

     


    votre commentaire
  • Quand quelque chose de nouveau se présente, il faut réapprendre à marcher.

     

    C’est plus simple que ça quand même

    Dans le cœur nous savons tout

    Juste choisir entre rassurance et aller de l’avant en confiance

    Ça change la condition interne

    Tout est affaire de silence

     

    Oui, de silence,  s’accorder à cet état, parce que l’habitude fait faire de grands mouvements.

     


    votre commentaire
  • Que reste-t-il lorsqu’on a plus d’image sur les personnes ?

      

    Il reste les personnes ou les autres "choses", telles qu’elles nous apparaissent dans leur éphémérité

    Toute chose étant éphémère, elles passent trop vite pour que nous puissions y coller un quelconque jugement

    Ensuite, avec le temps, notre esprit perd l’habitude de fabriquer des images, il en perd le besoin, parce que l’éphémérité ne le perturbe plus

    L’esprit colle et fabrique les images parce qu’il a horreur à la base de ce qui ne peut durer en lui

    Il sait en fond d’écran que tout finit par disparaître et cela lui fait peur

    Quand il n’a plus peur, il cesse de fabriquer des images ou plus exactement, il efface toutes les images qu’il prête aux choses pour pouvoir communiquer avec elle

    Mais ces liens de communications sont comme des traces de pas sur le sable que les vagues effacent au fur et à mesure

     

    Comme une relation qui se ferait plutôt avec "des événements" et non pas à partir d’une idée construite que celui là est ainsi, etc. ?

      

    Non, une relation qui se fait avec les sens sans la somme des interprétations qui l’accompagne d’habitude


    votre commentaire
  • "La méditation c’est réduire l’activité de la pensée… il n’y a plus que sentir.

    Tout participe, la vie est création, toute pensée, tout acte.

    Quand le plein s’abstient il crée du silence."

     

    "Il n’y a pas de réponse parce que les questions ne viennent de rien.

    Lorsque s’exprime quelque chose qui n’est plus de nous, cela ne s’exprime pas, il ne reste que le silence.

    Le contraire de la connaissance, la vacuité…

    Celui qui n’est pas, peut répondre."

     

    "La relation n’est pas pour le souvenir, elle est invisible, elle est essentielle."

     

    Ron Uribe

     


    votre commentaire
  • Je vais essayer de préciser ce que je cherchais à dire et qui, pour moi, ne s’oppose pas à ce que tu dis.

    Ce monde, que nous faisons et dans lequel nous vivons, repose sur le désir/roi.

    Pratiquement rien n’y échappe dans les activités humaines.

    Il y a donc bien une forme d’énergie qui permet ces activités.

    Une énergie, conséquence et cause de conflits, qui fait les guerres et les injustices.

      

    Celui qui se sent repu, n’a plus faim

    Celui qui a faim est rempli de conflit

    L’énergie est associée à la satiété, la sécurité, le confort

      

    Oui, là où est l’énergie, est la plénitude.

      

    Le conflit est associé, à la souffrance, au besoin, à l’inquiétude, à l’inconfort, etc.

      

    Oui, mais comprends-tu que je ne dis pas le contraire de ce que tu dis ?

      

    Oui

      

    Le conditionnement est puissant

    Seule l’énergie, la vraie, peut le battre en brèche.

      

    Oui

      

    Mais au début…

    Il en manque, d’où ce travail, si difficile, parce qu’il est ni contrôle, ni laisser aller.

      

    Oui lol

      

    Nous parlons pour aider à ce travail

    Bien entendu parler ne suffit pas, et doit se limiter.

      

    Oui

      


    votre commentaire