• Etirement

     J’ai cheminé et je chemine encore au centre de ma fournaise

     Observé mes émotions et les chemins qu’elles prennent, leurs sources aussi.

     J’ai étiré les valeurs qui m’habitaient comme des élastiques.

     Et quand tu étires, il finit par ne plus rien rester

     Tu ne vois plus que des espaces clairs et vides.

     Comme ces « jours » entre les lettres que je suis en train d’écrire, j’ai compris que la vérité était là, dans ce vide ou ce silence.

     Peut-être as-tu ressenti quelque chose comme cela ?

     


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