• De la violence (5)

    Visiblement mes mots d'hier n'avaient point de sens pour toi ou si peu.

    C'est bien le feu de la violence que j'ai éteint en moi, et c'est pourquoi je me suis adouci et attendri.

    Bien entendu que la violence est la vie, le désir sexuel est désir de domination, il est violent, ainsi de tous nos besoins.

    Je ne te parle pas de philosophie là, mais de ma vie, de mon expérience. Tous ces désirs, ces pulsions, ces besoins m'habitaient, j'étais une personne d'une grande violence, (Sourire)finalement très en harmonie avec la vie.

     

    Le changement intérieur intervient bien par les cellules et c'est la nature qui l'a voulu ainsi, c'est notre seule liberté.

    Si nous refusons de croire en notre faculté d'ordonner le changement, il n'y a plus rien à faire. Suffit d'accepter tout ce qui est sans commentaire.

    Les pulsions animales m'amenaient à la destruction, je n'ai pas eu d'autre choix et j'en suis bien content, que d'explorer de chemin. Et c'est la vie et non la mort qui m'attend.

    Il ne s'agit pas de morale, j'ai touché cela, la violence qui est dans la vie que nous connaissons n'est qu'un rideau, la vraie vie est derrière.

     


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