• La crise dites-vous ? Je ne vois pas de quoi vous voulez parler !

    Vous ne parvenez plus à vendre le pain que vous avez pétri ?

    Les gens ne mangent-ils plus ?

    Vous n'avez plus de clients dans vos boutiques de prêt à porter ?

    Les gens se seraient-ils mis à aller tout nu dans les rues désormais ?

    Vous ne trouvez plus acheteurs pour vos jolis escarpins ?

    Les gens marcheraient-ils pieds nus dans notre pays ?

    Non, il ne s'agit pas de cela ! Je voudrais vendre davantage encore, en faisant plus de bénéfice, et pour cela, il me faut m'exporter !

     

    Je me disais bien aussi.... la crise, c'est quand on ne peut plus boire l'eau sous crainte de périr, quand on ne peut plus rien faire pousser dans son jardin parce que la terre est stérile, quand on ne peut plus respirer, parce que l'air est contaminé....Votre crise n'est que la crise des hommes d'affaires....

     


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  • Ce n'est pas notre relation qui plonge dans les excès, elle est belle et forte par elle-même, elle est à l’abri de toute déviance, elle existe malgré nous, et nous ne pouvons la rompre, seulement la perdre de vue et qu'elle se fasse sans nous. Parce que ce qui est excessif, ce sont nos routines de vie, les défenses que nous avons installées pour se protéger des autres, ce ne sont que de pauvres mécanismes, mais utiles souvent, d'où leur résistance. Car tant que nous les croirons utiles protections entre nous, elles resurgiront et ce sont elles qui tiendront les rênes, vraiment ! Plus ni moi, ni toi, mais elles.

    Il y a urgence au travail oui, et c'est par là qu'il nous faut commencer.

     


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  • Plume a fait sa toilette de printemps (Ron souhaitant retravailler ces textes), ne restent sur le blog que les extraits du livre Rencontre d'une Vie et Plume d’Éveil en entier.

    Dés demain d'autres mots vous seront proposés en partage.

    Merci de votre attention ami(e)s lecteurs.

     


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  • Dans chaque étincelle de notre vie

    Conscience et non-conscience sont unies,

    Là où commence la lumière recule l'ombre.

    Chacun de nos tressaillements,

    Chacune de nos respirations,

    Est le fruit de leur mariage.

     

    Dieu que la non-conscience est grande,

    Que la conscience est toute petite,

    La flamme d'une chandelle, épouse d'un incendie.

     


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  • La transcendance est aussi une "métamorphose", du-moins elle l'induit.


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